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Une fin d’année sous le figuier

Les riads à Marrakech, j’en ai visités beaucoup.

Dar Lallat est différent par son mix d’influences marocaines et belges.

C’est l’histoire de trois filles, de deux générations, d’une mère et de ses deux lolitas, qui, les cheveux au vent, sont tombés amoureuses d’un arbre, un arbre centenaire autour duquel sont construits des murs, un riad.

Ce riad aurait ainsi pu s’appeler Dar Karmouss puisque le figuier est l’âme du lieu. Tout tourne autour de cet arbre qui incarne la volonté de survie et symbolise la générosité, et dont les branches s’élancent vers le ciel et atteignent la terrasse.

Il a fallu quatre ans à la propriétaire pour faire de ce riad un petit bijou. Tout en supervisant les travaux, elle a chiné des objets dans la médina, en a achetés d’autres en France ou en Belgique. Chaque luminaire, chaque carafe, chaque tapis, chaque panier a été choisi avec amour et j’aime ce mélange de styles et d’influences. J’aime aussi la préciosité des lustres et du mur doré réalisé par la décoratrice Stella Cadente, le minimalisme des matériaux (tadelakt, zelliges noirs dans la cuisine), l’impression sur bois d’Emmanuelle Bovis qui retrace la vie de la famille, les accumulations d’objets, les meubles de métiers…

Située à Bab Doukkala, Dar Lallat peut accueillir 8 personnes. Et Jamila vous recevra et vous concoctera de bons petits plats.

A Dar Lallat, tout raconte une histoire. Le lieu idéal pour raconter la votre…

280 euros la nuit sur : https://abnb.me/mbf4YYlqhR

dar.lallat@gmail.com